Une démocratie et une dictature. Une campagne présidentielle et de l’argent noir. Voici le film qui va enfin vous permettre de tout comprendre à l’un des scandales les plus retentissants de la Ve République.
Juin 2013. Un mouvement protestataire occupe le parc Gezi à Istanbul. La tension monte entre les manifestants et la police qui se montre de plus en plus violente. Pendant ce temps, la télévision turque diffuse des documentaires sur les pingouins. "Marche arrière" est un film autocensuré dénonçant cette censure. Grand prix au Très Court International Film Festival (2015).
En Roumanie, Frant Tandara, ex-tortionnaire des prisons communistes, est disposé à avouer ses crimes à une journaliste et à un ancien détenu politique. Il se raconte à eux : enfant de troupe, puis à la fin de la guerre vagabond, sans abri passant ses nuits dans les gares...
A Prague, en 1951, un homme est persécuté par le système malgré son passé irréprochable. Sa femme le désavoue en public et il finit par avouer n'importe quoi avant d'être réhabilité, alors que les chars russes entrent dans la ville.
Lorsque la petite principauté de Casinario au bord de la faillite, reçoit la visite de Monsieur Banco, l'homme le plus riche du monde, elle voit en lui un sauveur providentiel et en fait son dictateur. Victime d'un accident, il perd la raison. Le peuple et la classe politique de Casinario, de plus en plus servile, ne voit pourtant dans ses décrets imbéciles que l'expression du bon sens.
Images perdues d'un bonheur familial éphémère, avant la longue tragédie... Dans ce troisième volet d'une trilogie documentaire sur le génocide cambodgien, Rithy Panh fait revivre son enfance et sa famille détruites par les Khmers rouges à travers des figurines de terre cuite. L'évocation poignante et sobre d'un crime de masse qui n'a pas laissé d'images.
Tour à tour naïf ou lucide, drôle ou inquiétant, illuminé ou sûr de sa force physique et de la mission qu'il doit accomplir, Amin Dada n'a pas fini d'intriguer, sinon d'inquiéter à travers cette phrase qu'il proclame : « tout peut se gagner par K.O ».
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